Apprenez à connaitre les gens derrière vos lunettes. L’employée du jour : la petite nouvelle avec une grande expérience
Nom : Sandra Bruneau
Surnom : Rien d’officiel au moment de mettre sous presse
Années d’expérience : 19 ans
Territoire : Mile End – Châteauguay – La Prairie – Vaudreuil
Pas facile de changer d’emploi après presque quinze ans au même endroit. Pourtant, notre nouvelle collègue s’est bien adaptée à son nouvel environnement et quelques semaines après son arrivée, on peut affirmer sans l’ombre d’un doute que si elle n’est pas partie en courant encore, c’est que son intégration s’est bien déroulé. Apprenez à connaitre la petite nouvelle que nos clients de la Rive-Sud auront l’occasion de rencontrer façon régulière au cours des prochains mois !
Devenir opticienne, c’est arrivé comment ?
C’est peut-être un peu étrange ce que je vais dire, mais quand j’étais jeune, j’adorais passer des examens de la vue. Tellement en fait qu’en vieillissant je voulais devenir optométriste et donner les examens plutôt que les faire. Malheureusement, le programme était très contingenté à l’époque alors j’ai pris la décision de faire la technique en Optique et lunetterie et ainsi devenir opticienne (pour comprendre la différence entre les deux, consultez notre article!) J’ai fait mon stage, pour ensuite travailler pendant quelques mois chez Essilor avant de finalement obtenu mon diplôme en 2005.
Comment est-ce que tu t’es retrouvé au Bonhomme à lunettes ?
Après 14 ans à mon ancien emploi, je sentais que j’avais besoin de changement. Je voulais vivre autre chose. J’avais la bougeotte ! J’avais déjà entendu parler du Bonhomme à lunettes et j’aimais le côté mobile. Je me disais que ça me permettrait de bouger justement. Quand Philippe m’a contacté pour m’offrir un emploi, il me disait que ça allait nécessiter de venir travailler à Montréal à l’occasion. Au départ j’étais un peu hésitante, je suis une fille de Rive-Sud qui aime bien rester dans mon coin. Mais depuis que j’ai commencé, je suis agréablement surprise. L’objectif demeure de contribuer à développer la Montérégie, mais j’aime beaucoup l’ambiance aux Portes Orange et ça me fait plaisir d’y venir à l’occasion.
Qu’aimes-tu le plus dans ton travail ?
Pour avoir lu les autres billets de blogue, je sais que c’est un peu cliché ce que je vais dire, mais j’aime le contact avec les gens. J’aime qu’ils soient confortables non seulement avec leurs lunettes, mais aussi dans le processus d’achat. J’aime aussi beaucoup la mission du Bonhomme. Ça épouse bien mes valeurs et ça rend mon contact avec les clients encore plus agréable.
Tu pratiques le métier d’opticienne depuis bientôt 20 ans. Qu’est-ce qui a le plus changé selon toi depuis tes débuts ?
Je trouve que les lunettes ont pris plus de place dans les tendances mode au fil des années. Pendant longtemps, c’était tout de même rare de voir des gens à lunettes à la télé ou au cinéma. De nos jours, il y en a beaucoup plus, et la plupart des gens les assument fièrement avec une originalité personnelle à chacun. Les montures sont aujourd’hui plus grandes et plus colorées, les gens osent davantage. Quand j’ai débutée il y a 20 ans, elles étaient généralement plus petites et discrètes je crois.
Tu seras aussi appelée à contribuer au développement de notre service sur la Rive-Sud. Quelles sont les villes où tu aimerais voir le Bonhomme s’installer dans le futur ?
Selon moi, toutes les villes bénéficieraient grandement d’un point de service du Bonhomme à lunettes, ne serait-ce qu’une fois par mois. Ce que nous allons tenter de faire au cours des prochains mois, c’est de sonder le terrain dans des villes à proximité de chez moi comme Beauharnois par exemple. Je crois qu’il est aussi important de viser des villes plus rurales, où les choix sont souvent plus limités